Du coeur de Gaïa au bras d'Hermès: extrait d'un tour du monde

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mercredi 14 septembre 2011

Argentine - Puerto Iguazu

Après 12h de vol pour Yo&Ca, il est temps d’innover : 20h de bus, direction « las cataratas ».
Coup de chance, le bus est quasiment vide, du coup nous avons l’embarras du choix : devant ? derrière ? à droite ? à gauche ?
Et bien, il faut goûter pour savoir, nous commencerons l’un à côté de l’autre, nous passerons la nuit dispersés ici et là, et nous nous retrouverons en matinée devant le pare brise panoramique les doigts de pieds en éventail à admirer les nouveaux paysages qui s’étendent devant nous : forêt humide et pistes couleurs argiles.





Objectif de ces deux jours : les chutes d’Iguazu, et ses 275 cascades.
Enclavées au cœur d’une forêt subtropicale humide, les chutes marquent la frontière entre le Brésil et l’Argentine.
Selon, un dicton régional « les argentins fournissent les chutes tandis que les brésiliens profitent de la vue ». L’expression parle d’elle-même.
Côté Brésilien, la promenade est aménagée le long de la falaise offrant incontestablement une vue panoramique fabuleuse.






























Côté Argentin, les pistes s’enfoncent dans la forêt pour nous plonger au cœur du spectacle passant d’une cascade à une autre pendant que les coaties parcourent rigoureusement les allées à la recherche d’un pique-nique à voler. Et pas de pitié pour les enfants, ils prennent même les bonbons des mains !
Les chutes sont gigantesques et le show est à la fois sonore et visuelle. L’eau dévale violemment la falaise pour se jeter dans un tourbillon infini créant un bruit inouï signe d’une force de la nature démentielle !
Coatie en flagrant délit!





























Après deux jours non stop dans les forêts tropicales de Puerto Iguazu, une pause s’impose ! Mais pas si vite dit… non seulement le café est imbuvable mais en plus des seaux d’eau se déversent maintenant sur nous ; c’est debout, dans un couloir de passage que nous finirons par renvoyer à l’envoyeur nos « jus de chaussette » à la recherche d’un endroit plus sec !
Et pour couronner le tout, comme si ça nous n’avions pas vu assez d’eau, 8 mois que nous voyageons, 1ère bouteille renversée et c’est pour… Camille (la 2ème aussi d’ailleurs ! ;) )




On peut désormais affirmer, que nous avons vu les chutes sous toutes les coutures : de loin, de près, d’en haut, d’en bas et surtout du dessous.








1 commentaire:

  1. Que ces chutes sont fantastiques,il n'y a guère
    d'autre mots,pour les définir.275 chutes!!!c'est phénoménal.Elles sont plus belles les unes que les autres.Quel plaisir de te lire Pierrette,a travers ces photos,j'imagine un peu ce que vous vivez.Camille est un peu GAÏBBI comme on dit chez nous!!!!!Heureusement que ce n'était que de l'eau.Je vois que vous avez des compagnons qui vous mangent tout!!!!Au fait ,c'est pratique ,prés des chutes ,Valérie K ne ferait pas fortune!!!!!!bisous;mam.

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