Costa Rica - Puerto Viejo

Parce que « vacances » riment avec soleil, plages et cocotiers, nous quittons rapidement la grisaille de San José direction les CARAÏBES !! Ah que ce doux mot fait plaisir aux oreilles...

Chaleur étouffante, végétation tropicale, musique reggae et menu de fruit de mer, nous sommes bien arrivés  notre destination.

La recherche d’un hôtel ne sera pas une mince affaire, entre les établissements complets, les bungalows pourris et les cabanes de toxicos, nous voilà bien ! On tournera pendant 1h chargé comme des « bourricots » avant d’atterrir dans un petit jardin japonais à la mode exotique. Finalement la patience paie !

Une chevauchée de 26km : les garçons ont mal aux fesses (et on dit que c’est moi la non sportive…)

Notre première journée au soleil (ou tout du moins là où il ne pleut pas) sera placée sous le signe du vélo.

Le pique nique en poche, nous enjambons nos « bécanes » à la découverte des environs et surtout de ces magnifiques plages sauvages. Une petite pause par ici, un petit arrêt par là, on est libre de nos mouvements et on en profite !

Le sable s’étend à perte de vue, le rivage est sauvage, quelques morceaux de bois rejetés par la mer ornent les plages. Le sable est tantôt blanc, tantôt noir, mais la végétation aussi exubérante que luxuriante forme un liseré sauvage où le cri asocial des singes hurleurs devrait nous tenir à distance. Curiosité oblige, on pénètre sans embarras dans cette jungle humide mais comme on dit courageux mais pas téméraire on ne s’écarte tout de même pas de la lumière du chemin.

La découverte de la faune et la flore du Costa Rica est à porter de main. Le lendemain, nous optons pour le parc national de Cahuita ; 10 km², 8km de balade entre terre et mer, du monde de Tarzan à celui de gang de requin.

D’un côté les iguanes, singes, paresseux, serpents et araignées de l’autre blow fish, requins, raies et poissons multicolores…

Basilic vert

Paresseux

Paresseux

Blow fish

Mais n’oublions pas Tic et Tac les raquetteurs de la jungle. A peine le pied posé sur le sol que nous apercevons ces deux petites têtes charmantes sortir d’entre les fougères. Sans peur ni vergogne, ils s’approchent, doucement mais surement, et nos deux compères se transforment alors en bandits notoires avec pour mission : dévaliser Greg et pourquoi pas s’équiper d’un sac Quechua…c’est à la mode ! Dressés sur les pattes arrières, les babines relevées, ils s’emparent ou plutôt effleurent l’objet de toutes convoitises... en vain, ils se replient alors sur les tongues mais sans succès et partiront bredouilles dans l’attente d’un nouveau pigeon !